Comme le bon vin

                                                                       





6 commentaires:

  1. Bonjour Dé,
    Comment vas-tu ? J’imagine que tu es aspirée dans l’infernal tourbillon de l’écriture ? Ça fait plaisir en tout cas que tu en émerges de temps en temps pour nous régaler à nouveau de ta belle poésie :-) J’aime beaucoup celle-là : elle est comme un bon vin qu’il faut savourer avec lenteur et délicatesse, jamais trop long en bouche ! Ivresse quand tu nous tiens ;-)
    Bises :-)*

    RépondreSupprimer
  2. Bonjour cher David, je vais bien merci. Et toi?

    J'écris lentement. Les choses avancent néanmoins. Je suis l'inspiration, parfois c'est fulgurant, parfois ça traîne. J'observe toujours, je pose ce que je ressens. Ici mes constatations sur le temps qui passe mais qui n'efface pas tout pour autant. Il faut bien plus aux grandes douleurs pour disparaître, il faut une révolution sur soi-même. Je me sens de plus en plus bienveillante, la colère ou la détestation me lasse. Être bon est plus confortable. J'en reviens à ce que j'affirmais il y a quelques mois: le pardon c'est d'abord pour soi.

    Mes bises :)

    RépondreSupprimer
  3. Ce poème est d'une force incroyable....
    Autant que le commentaire ci-dessus

    Des leçons d'humanité en quelque sorte....

    Merci !

    RépondreSupprimer
  4. Oh Alain tu vas me faire rougir! Je prends bien plus de leçons que je ne me permettrais d'en donner. J'ai toujours un fort sentiment "d'illégitimité" à poser des affirmations, ou alors je ne les pose que pour moi. Mais tout ce que j'ai écris en-dessus est vrai. Je n'ai plus envie de laisser s'exprimer le serpent, il est temps de passer à un autre niveau de perception et de relation. Enfin pour moi. ^^

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Justement, tu ne donnes aucune leçon. tu témoignes, tu dis tes affirmations. elles ne sont pas des idées, des pensées "en l'air". Elles ont le poids d'une vie avec à la fois la pesanteur et le légèreté qui font les êtres en accomplissement.
      C'est cela que j'honore" chez toi.
      La désir du "passage" en accomplissement.
      Là est la grandeur humaine...
      Oui, une autre niveau de relations.
      Enfin, pour moi !!! (je conclue de même et sans ironie aucune bien au contraire).

      Supprimer
    2. J'espère que je discerne un peu ce passage vers l'accomplissement et que j'ai choisi la bonne méthode pour m'n approcher. Quant à passer.... ;)

      Supprimer