Je te lis depuis très longtemps mais il est vrai que je n'osais pas commenter, je ne sais pourquoi. Une sorte d'immense respect un peu intimidé. Mais j'ai aimé dernièrement certaines de tes prises de position, je tenais à te le dire. Bises émues et célestes ¸¸.•*¨*• ☆
heu, Célestine tu vas rire: je ressens à peu près la même chose pour toi. ^^
A quel point c'est bête quand même. Et puis je tiens à répéter que je suis quelqu'un de très ordinaire. Donc bienvenue dans mon coin d'espace et tu viens quand tu veux, tu commentes si tu veux, voilà. Ici on est libre. Je n'attends pas de commentaires, si les lecteurs/trices me parlent j'en suis très heureuse et si tel n'est pas le cas je n'en souffre pas.
Assez seule pour ne plus l'être ... les bobos parisiennes qui ont 500 amis sur facebook devraient comprendre ça. Pour sentir la présence, il faut un peu d'espace autour. Je suis caleçon, association d'idée irrépressible ;-)
On est pas tous fait du même bois mon Pep. Mais je crois qu'on est tous des petites choses fragiles. Après on fait comme on peut, moi j'ai eu une chance inouïe d'être très seule enfant et d'en être plutôt heureuse. D'avoir été une enfant des villes qui s'épanouissait aux champs, j'ai toujours été rêveuse, dérivante: c'est un sujet de rigolade gentille pour mes soeurs. Je suis celle qui est "à l'ouest", celle qui saute sans arrêt du coq à l'âne et que l'on a du mal à "suivre" ^^ Peut-être qu'au fond ça m'amuse d'être une bête curieuse...
Je me reconnais si bien dans ce que tu écris, Désirée, je tenais à te le dire, "celle qui saute sans arrêt du coq à l'âne, et que l'on a du mal à suivre"... parce que ça continue de bouillonner à 300 à l'heure dans la tête.... "assez seule pour ne plus l'être"... c'est très profond, très beau. Merci. Den
A vrai dire j'alterne les périodes de bouillonnement et ce que j'appelle les "stases" où la pensée est complètement immobile, pacifiée, une sorte de méditation instantanée. Où tout se calme, corps et esprit. En ce moment je suis très calme, une mère d'huile quoi ;)
Se peut-il plus bel hommage à "l'Existence"…
RépondreSupprimerEt la dernière phrase, si juste, est d'une densité intense.
Merci !
Merci à toi cher Alain, d'avoir l'enthousiasme si encourageant ;)
SupprimerMagnifique poème, très fort comme tout ce que tu écris.
RépondreSupprimer¸¸.•*¨*• ☆
Merci Célestine, et bienvenue par ici :)
SupprimerJe te lis depuis très longtemps mais il est vrai que je n'osais pas commenter, je ne sais pourquoi.
SupprimerUne sorte d'immense respect un peu intimidé. Mais j'ai aimé dernièrement certaines de tes prises de position, je tenais à te le dire.
Bises émues et célestes
¸¸.•*¨*• ☆
heu, Célestine tu vas rire: je ressens à peu près la même chose pour toi. ^^
SupprimerA quel point c'est bête quand même. Et puis je tiens à répéter que je suis quelqu'un de très ordinaire. Donc bienvenue dans mon coin d'espace et tu viens quand tu veux, tu commentes si tu veux, voilà. Ici on est libre. Je n'attends pas de commentaires, si les lecteurs/trices me parlent j'en suis très heureuse et si tel n'est pas le cas je n'en souffre pas.
Bises rougissantes :)
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerAssez seule pour ne plus l'être ... les bobos parisiennes qui ont 500 amis sur facebook devraient comprendre ça. Pour sentir la présence, il faut un peu d'espace autour.
RépondreSupprimerJe suis caleçon, association d'idée irrépressible ;-)
On est pas tous fait du même bois mon Pep. Mais je crois qu'on est tous des petites choses fragiles. Après on fait comme on peut, moi j'ai eu une chance inouïe d'être très seule enfant et d'en être plutôt heureuse. D'avoir été une enfant des villes qui s'épanouissait aux champs, j'ai toujours été rêveuse, dérivante: c'est un sujet de rigolade gentille pour mes soeurs. Je suis celle qui est "à l'ouest", celle qui saute sans arrêt du coq à l'âne et que l'on a du mal à "suivre" ^^ Peut-être qu'au fond ça m'amuse d'être une bête curieuse...
SupprimerAh ! que c'est beau !
RépondreSupprimerQuitter maya c'est quitter l'illusion
et avoir accès à la Réalité ! kéa
Ah ah! Kéa, mais qu'est-ce donc que la Réalité? Une autre forme d'illusion peut-être? ;) (je te taquine. Mais ça pose question non?)
SupprimerJe me reconnais si bien dans ce que tu écris, Désirée, je tenais à te le dire, "celle qui saute sans arrêt du coq à l'âne, et que l'on a du mal à suivre"... parce que ça continue de bouillonner à 300 à l'heure dans la tête.... "assez seule pour ne plus l'être"... c'est très profond, très beau. Merci.
RépondreSupprimerDen
A vrai dire j'alterne les périodes de bouillonnement et ce que j'appelle les "stases" où la pensée est complètement immobile, pacifiée, une sorte de méditation instantanée. Où tout se calme, corps et esprit. En ce moment je suis très calme, une mère d'huile quoi ;)
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