Fils de rien, moineau
pourquoi ces titres que tu te donnes,
fils de gueux tu revêts des habits royaux
mais d'où sors-tu cette couronne?
Vois je marche sur tes lys
humble et simple marguerite
et je pleure sur ton coeur qui m'évite
comme Myriam sur les pieds de son Christ.
2019
Petites rimes, mais grands effets... :-)
RépondreSupprimerBeaucoup de symboles dans ces simples vers.
Bisous Désirée
¸¸.•*¨*• ☆
je me suis retrouvée à lire sur tes chemins soyeux qui se faufilent entre tes mots métromanes, tes sillons en cocon de soie..merci chère Cloudy pour ton coeur en faon d'Apollon en transe qui levite encor.
RépondreSupprimerBisous Dé.
De,
Que ton chant du merle me pardonne Dé et Cloudy aussi
SupprimerBISOUS A TOUTES LES DEUX...
Je découvre ce joli texte.
RépondreSupprimerIl est vrai que je n'ai guère « blogosphèré » ces derniers temps…
j'espère que tu vas bien. À très bientôt, prends soin de toi.